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 Dedelle |
 # 1 ≡ L'histoire de Belles Belles Belles et des Filles |
Modératrice
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le 8/2/2003
De : Région parisienne
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L'HISTOIRE
« Belles, Belles, Belles »
En province, trois filles Emilie, Sonia et Charlotte, sortent de la demi-finale d’un concours de chant que leur groupe vient de remporter. Ce sont des amies de toujours mais ayant chacune des caractères très différents :
EMILIE : Mystérieuse, discrète, très proche de sa mère et de son frère Stéphane. Elle semble dissimuler un lourd secret !… Que cache-t-elle à ses amies ?… Nous découvrirons tout au long de l’histoire.
SONIA : La fille du Maire de la ville est plutôt réservée. Ses débuts dans le milieu artistique ne sont pas accueillis de façon favorable par son père qui ne peut pas admettre que sa fille veuille faire ce métier. Grégory, son petit ami, est également opposé par jalousie à ce choix artistique.
CHARLOTTE : Est sans aucun doute la plus exubérante des trois à l’image de sa mère, une ancienne « Clodette ». Une étrange relation lie Charlotte à sa mère qui veut, à tout prix, faire de sa fille ce qu’elle aurait aimé être : une chanteuse… mieux… une star !
Emilie, Sonia et Charlotte iront-elles jusqu’au bout de leurs rêves ? Veulent-elles vraiment devenir des stars de la chanson ? L’amour les poussera-t-il à voir la vie différemment ?…
  
Nous serons témoins de l’évolution des 3 jeunes filles au sein du Centre Claude François jusqu’à la finale du Grand Concours ! Une tranche de vie très actuelle qui déroulera à travers 23 succès de Claude François interprétés par 11 chanteurs-acteurs-danseurs entourés d’une troupe de danseurs.
Une comédie musicale dans laquelle, pour la première fois, la comédie, la chanson et la danse auront autant d’importance.
MAIS QUI SONT LES FILLES
 Sonia - Aurélie Konaté
C'est toujours au moment où l'on attend le moins de sa bonne étoile que celle-ci vous donne un coup de pouce. Aurélie Konaté avait-elle imaginé il y a quelques années, au sortir de plusieurs singles, soit en groupe (en 1996) soit en solo (en 1999), qu'elle tiendrait plus tard, sa revanche sur une carrière qui aurait pu et dû décourager cette bosseuse !
Démarrer une seconde carrière… jamais simple. Aurélie avait commencé à 4 ans par une discipline exigeante : la danse classique, puis le modern' jazz et les claquettes. Elle passera la vitesse supérieure à 18 ans avec 2 amies au sein du groupe "Les Foxies" avant de reprendre ses études (elle voulait devenir professeur d'anglais) et quand elle se rendra au casting de "Star Academy", cette belle timide le cachera à ses parents car elle voulait d'abord se prouver qu'elle pouvait y entrer.
Bretonne par sa mère, donc têtue dit-on, on ne peut que saluer sa persévérance. Qu'il semble loin le temps où Aurélie, assistante d'accueil cramponnée au Rythm and Blues, rêvait d'interpréter un duo avec Whitney Houston ou Alicia Keys.
De "Star Academy", Aurélie retiendra les cours qui lui ont permis de progresser et la vie en groupe où elle y a montré son tempérament et prouvé son talent : voix sensuelle, plastique de rêve et sens inné du rythme.
Après un single solo teinté de pop-soul et l'incroyable tournée de la "Star Ac", elle reste dans l'ambiance d'une troupe au sein de "Belles, Belles, Belles" étant plus attirée par une comédie musicale que par un album solo.
Aurélie insiste et passe avec succès tous les castings, prouvant à Redha et à la production qu'elle serait parfaite dans l'un des principaux rôles, celui de Sonia…
Aujourd'hui, Aurélie démontre qu'elle a sa place dans le métier, le plus dur reste à faire, mais sa motivation est à la hauteur de son talent.
 Emilie - Joy Ester
Sur son passeport Joy Esther aurait pu mettre au choix : comédienne, mannequin ou chanteuse, le plus simple serait d'y inscrire artiste. D'origine lyonnaise, cette parisienne a débuté par le mannequinât dès 8 ans. Ce qui au départ aurait pu être un simple passe-temps de jeunesse a été déclencheur d'une carrière artistique.
A 10 ans, elle prend des cours de chant et de théâtre en plus d'heures de judo et de sa scolarité : une vraie boulimie de travail. Pour satisfaire son appétit, elle tiendra différents rôles dans des téléfilms et films comme "Une femme d'honneur" ou "Gamer".
Ensuite, Joy suivra pendant trois ans les Cours Florent et s'essaiera au chant plus pop-rock dans un groupe : "Cocktail".
D'un éclectisme déconcertant, tout en prenant de l'expérience à fur et à mesure, cette native des gémeaux révèle sa personnalité de battante lors du casting de "Belles, Belles, Belles" où l'avait envoyé son agent.
Participer à cette aventure, avec à la clé l'un des rôles principaux, celui d'Emilie, est pour Joy l'opportunité de découvrir la danse avec un professeur aussi émérite que Redha, tout en conjuguant le chant et la comédie, ses domaines de prédilection.
A presque 20 ans, rien jusqu'à aujourd'hui ne l'a détourné de sa ligne directrice, laissons-nous prendre au charme de cette jeune femme bien dans son monde…
 Charlotte - Liza Pastor
Pour cette jeune sudiste de la région de Montpellier, s'envoler pour vivre de ses propres ailes à Paris à de quoi vous impressionner, quand, au sortir de l'adolescence, la majorité a peine entamée, on doit démarrer une seconde vie.
Aujourd'hui, la jeune fille a fait place à Liza Pastor, une évolution naturelle pour celle qui avait choisi à 4 ans la danse pour débuter, enchaînant par la suite avec le chant.
Cette voix, aux intonations pop-rock (à 9 ans, elle interprétera du Patricia Kaas pour son premier concours de chant) trouve ensuite place dans une troupe qui se produit lors de spectacles régionaux où lors du Téléthon.
Sa motivation première est de prendre plaisir à être sur scène et c'est là que le déclic a eu lieu : En 2002, pour sa première télévision nationale, elle participe à un spécial chanteur de "C'est mon choix".
Encouragée par ce baptême du feu elle passe quelques temps plus tard le casting de "Belles, Belles, Belles" et ses différentes étapes pour décrocher l'un des principaux rôles, "Celui de Charlotte, celui qui me ressemble le plus" dit-elle.
Presque nature, on l'envisage fraîche, charmante et délurée mais elle sait se révéler réservée et pudique… Personnage bien plus tourmenté qu'il pourrait y sembler, artiste dans l'âme et envahie d'une envie de (bien) faire… elle découvre la vie !
A 18 ans, le bac en poche, elle quitte sa province, pour faire ses premiers pas d'artiste professionnelle sur la mythique scène de l'Olympia.
On la voit déjà…en haut de l'affiche !
[ Edité par Dedelle le 29/11/2003 18:40 ] |
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| »29.11.03 - 15:38 |
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| Dedelle |
# 2 ≡ Et la troupe |
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De : Région parisienne
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Le père de Sonia (Jonathan Kerr)
Jonathan est né à Saint-Malo. Issu d’une famille de marin, il aurait du devenir capitaine au long cours mais c’est à bord du « Mayflower » (sa 1ère comédie musicale) qu’il fera ses débuts au théâtre de la porte St Martin puis c’est L’Olympia avec « Le Big Bazar » avant de débuter une carrière d’auteur, compositeur, interprète.
Il se tourne ensuite vers le théâtre et travaille avec E.Laborey, A.Votsinas, D.Flamand, G.Vitaly, B.Salan, J.Savary (1er rôle de « Cabaret »), R.Cantarella, A.Delume, J-P.Volmer, C.Blue, P.Lecadre, P.Giros… Récemment il a travaillé avec Kai Jonhsen sur des textes de Jon Fosse (« Le Nom », « Variations sur la mort ») et il n’a jamais quitté la comédie musicale jouant Eddy Clark dans « L’Ombre d’un Géant ».
C’est avec sa propre compagnie « Le Bateleur théâtre » ; qu’il crée des pièces depuis le début des années 90 : « Eternel Tango » (92), « Le Chippendale » et « L’homme de leur vie » (93), « Le Boiteux » (95), « Le Mat » (comédie musicale, 96), « Deni de Noce » (97). Il a écrit les pièces « Le Couple sur la Piste », « Le Scrabble » (diffusée sur France Culture) et « Je veux parler à Dieu ».
Jonathan a participé à travers le monde à de nombreuses manifestations, récitals, performances, sans oublier le cinéma. Aujourd’hui, il fait un retour à la comédie musicale, un grand bonheur pour lui.
Grégory, petit ami de Sonia (Fabien Richard)
L’amour que porte Fabien aux spectacles musicaux remonte à Hyères… où chaque été, toute sa famille qui descend du Havre rejoue « Les Misérables »… Pour lui ce sera le déclic ! Au retbur, la troupe que son père a monté en Normandie, puis le club de théâtre du lycée deviennent ses terrains de jeu.
A 18 ans, l’amour des planches le fait monter 2 jours par semaine à Paris pour suivre les cours de l’école de Guy Bontempelli avec théâtre, chant et danse au programme. Le reste de la semaine il est en fac de droit au Havre.
Il devient ensuite professionnel joue au théâtre Anouilh, Goldoni, Giraudoux, Strindberg… On le retrouve sur la scène du Palais des Sports pour « Danse la vie » où il rencontre Redha pour la première fois… Depuis, il est de toutes les distributions. De « Da Vinci » joué au Casino de Paris en 1999, de « Etre, ange, destin », de « Hair », et de la nouvelle troupe des « Dix Commandements ».
Spécialiste des comédies musicales, il passe naturellement le casting des « Demoiselles de Rochefort » où la production le dirige sur celui de « Belles, Belles, Belles ». Son futur, Fabien le voit au cinéma (il a déjà tourné dans une série télé) soit au théâtre musical, mais il y aura sûrement toujours une comédie musicale qui lui fera signe…
Vincent, le professeur de danse (Pascal Sual)
« Jamais là où on l’attend ! » telle pourrait être la devise de Pascal… Il est vrai qu’à 17 ans lorsqu’on prépare un CAP mécanique (plus par paresse que par passion) faire de la danse en banlieue parisienne, n’a rien de très classique à l’époque !
Pascal pense alors que pour sortir de la galère, un métier artistique peut être un tremplin. A 17 ans, il prend son premier cours de danse jazz. Naturellement doué, on le retrouve 3 ans plus tard dans la compagnie « Friends » de Redha pour les spectacles « Palim seste », « Caravane » (joués à la Cigale et au Zénith), et les émissions de télévision : « Lahaye d’Honneur », les shows de Michel Drucker…
La suite est une succession de rencontres avec Richard Cross, Lydie Callié, Jean Guidoni… et autant d’expériences. Aimant l’écriture, il prend la plume, donne des concerts au « New Morning », enregistre un CD, devient prof de danse et chorégraphie.
Après le casting de « Belles, Belles, Belles », il décroche le rôle de Vincent, le prof de danse et la musique ne lui est vraiment pas inconnue, ne chantait-il pas du Claude François avec sa sœur pour « Clodette » !
Aujourd’hui son rêve est devenu réalité et la réalité a rejoint la fiction. Pascal apprécie chaque minute de sa vie avec la plus grande intensité possible…
Mme Duval, mère de Grégory (Blandine Métayer)
Blandine l’avait déclaré à 4 ans : « Je serais comédienne » ceci après avoir récité sur scène un poème de Victor Hugo ! Avant de se faire une place de choix au « Théâtre de Bouvard » et à « La Classe », elle débute très jeune par la danse classique, entre au Conservatoire de Rouen à 14 ans, puis à celui de Paris à 17 ans.
Rapidement, elle passe professionnelle jouant des créations dans des théâtres subventionnés pendant 4 à 5 années, avant de changer radicalement de répertoire chez Bouvard où elle sera pensionnaire 4 ans et où elle découvrira l’écriture.
Plusieurs téléfilms et séries télé en tant que comédienne dont « Tribunal » sur TF1, sans oublié une quarantaine de « Maguy » écrits et 3 ans à « La Classe ».
Blandine est incontournable, son appétit de scène est tel qu’elle a tenu récemment celle du « Café de la Gare » durant 1h30 avec « Célibattante » une pièce qu’elle a co-écrite !
Pour cette touche à tout de talent (elle a chanté le répertoire classique, fait l’école du Cirque Gruss, du Kung-fu, de la boxe française et des arts martiaux…) il était inéluctable de faire un jour une comédie musicale, pour « Belles, Belles, Belles » elle passe le casting et elle décroche le rôle drôle et émouvant de Madame Duval…
La mère de Charlotte (Anjaya)
L’histoire ne dit pas si elle a visité l’île d’Indonésie dont elle porte le nom, mais Anjaya en a le soleil dans les yeux.
D’une famille nombreuse à une troupe, Anjaya, par sa personnalité, a toujours su trouver sa place au milieu des autres. Son parcours est balisé de rendez-vous avec soit une école, une troupe, un ballet, une comédie musicale, un groupe…
En femme pressée, à 18 ans, on la retrouve à Londres, puis plus tard, aux Etats-Unis pour enregistrer 4 titres comme chanteuse lead de son groupe.
Car si elle a débuté très jeune par la danse, avant de monter à 15 ans à Paris pour intégrer une section sports-études, la musique a toujours été présente dans son univers, étudiant même la flûte traversière et l’orgue !
Danseuse, chanteuse, il se devait de par ses études qu’elle soit engagée dans une comédie musicale. Anjaya, ayant le feeling pour le rôle de la mère de Charlotte (une femme qui a été dans le métier, fragile et qui vit à travers sa fille) passe avec succès l’audition à laquelle Redha l’avait conviée. Eux qui avaient déjà travaillé ensemble, mettent tout leurs talents au service de « Belles, Belles, Belles », un titre qui semble écrit pour Anjaya.
Sébastien (Alain Cordier)
Alain ou l’exemple d’un artiste qui arrive à maturité sur un projet d’envergure !
De Thionville à L’Olympia, il y a plusieurs pas ou caps à franchir. Pour cela, il est bien d’avoir une mère pédagogue (elle est institutrice) qui vous inscrit au solfège dès 8 ans.
Prenez ensuite des cours de piano à 9 ans montez un groupe en y tenant le chant-lead à 17 ans, jouez un répertoire funk-rock et pour l’ouverture d’esprit entrez aussi à 18 ans au Conservatoire pour y chanter de l’opéra !
Alain n’a pas que la musique en tête, il y a aussi les études, un BTS commerce international en poche, il part à Marseille pour se perfectionner mais au sein d’une troupe amateur locale, il est plus assidu aux répétitions d’une comédie musicale qu’aux cours.
Il décide alors de jouer son va-tout dans la musique et monte à Paris, entre à l’atelier d’Alice Donna qui lui donnera pendant 2 ans la formation pour être un jour à l’affiche d’un spectacle comme « Belles, Belles, Belles ».
Avec ce parcours, vous pouvez aussi rajouter pour la composition, l’écriture, et la comédie, et tout cela vous donne Alain Cordier !
Stéphane, le frère d'Emilie (Sylvain Mathis)
Après s’être essayé à plusieurs disciplines artistiques et sportives, Sylvain découvre la danse à 10 ans. A Cognac, son professeur, Fabienne Zeman le soutiendra dans sa volonté de continuer et l’accompagnera vers le milieu professionnel.
En 1996, son bac en poche, il est reçu au Conservatoire National Supérieur de danse de Paris. Il en sortira premier danseur avec mention « très bien » en 2001. Il effectuera à la suite une tournée nationale (qui se poursuivra en Asie) au sein du « Junior Ballet » du conservatoire. A Paris, Sylvain se consacrera au chant. Il fera ses premiers armes dans divers lieux de la capitale, accompagné d’un pianiste, avec un répertoire de reprises et de compositions.
Fort de ces expériences, de son attirance pour la danse, le chant et la comédie, il rêve de comédies musicales. Son premier casting lui permettra d’intégrer « Tintin et le temple du Soleil » pour sa création en Belgique comme membre de l’ensemble et doublure du rôle titre. Toujours en Belgique, à Liège, il joue dans « Chantons sous la pluie » spectacle pour lequel il s’initie aux claquettes. De retour à Paris, il foule les planches de l’Opéra Bastille, avec la chorégraphe Blanca Li.
En mai 2003, il endosse plusieurs rôles dans la comédie musicale « Hair » à Toulouse avant de décrocher le rôle de Stéphane dans « Belles, Belles, Belles ».
Alexandre (Lucas)
Rien dans son environnement, dans son parcours ne laissait à Lucas, l’espoir d’entrevoir la lumière d’un spot de L’Olympia ailleurs que dans la salle au milieu du public, et pourtant !
A 3 ans, ses parents professeurs de fac, à l’écoute de ses talents de chanteur (il interprétait les génériques des dessins animés…) l’inscrivent à l’éveil musical. A 8 ans, il est soliste du Conservatoire local. Pianiste aussi, ses doigts trop courts selon les professeurs sont un handicap… alors, à 15 ans, il stoppe tout !
A la majorité, le virus le reprend, et en individuel suit ses cours classiques et modernes de chant, il écrit aussi et enregistre des maquettes il passe des auditions et fait des petites scènes jouant ses compositions et des reprises…
L’histoire aurait pu se poursuivre par les études, mais l’annonce d’un casting à la radio, entendue par sa mère, le détourne de cette route. Lixas est enrôlé dans « Belles, Belles, Belles » et découvre un nouveau monde.
Lui qui aime partager, pourra dorénavant assouvir sa passion avec le public, le chemin n’était pas un long fleuve tranquille mais il menait à L’Olympia, et Lucas peut enfin monter sur cette scène mythique.
[ Edité par Dedelle le 30/11/2003 17:59 ] |
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| »29.11.03 - 17:53 |
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