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micos le 22/12/2003 10:14:36 (5062 lectures )
19-20 - France 3 : édition Paris / Ile de France
L'invitée :
Aurélie Konaté Prise dans les embouteillages, Aurélie n'arrive que pendant la diffusion du sujet de « Belles, Belles, Belles ».
Joy et Liza y évoquent la difficulté, avant leurs adaptations, a interpréter les chansons de Claude François, du fait de la voix haute de l'artiste.
Sur le coloré plateau du music-hall, à la renommée internationale, une énergie électrise vite le public. Claude François n'était pas un lymphatique sur scène.
Un modèle qui requiert une énergie totale à la troupe, très en verve et en mouvement, de la comédie musicale
BBB, chaque soir !
Les trois BBB sont égaux à trois CCC comme conter, chorégraphier et chanter… Derrière le rideau, Aurélie, Joy et Liza se serrent, alors, les mains avant que de tout balancer avec enthousiasme...
Avec beaucoup de talent, l'âme de Claude François est toujours là.
Le journaliste lui fait remarquer son aptitude à rebondir après la Star Academy et, de la sorte, à occuper le devant de la scène, propulsée qu’elle y est.
Au sous-entendu senti de son interlocuteur relatant sa mise en avant qui lui fut retranchée, en fin de parcours Star Ac, sans se départir de son humilité, de sa gentillesse et de son radieux sourire, notre princesse répète, à l'envie et avec élégance, son investissement et sa persévérance, pour circonvenir l’embuscade qui en masque d’autres
A l’aise et rompue à l’exercice, de meneuse de revue, notre belle se métamorphose en directrice d’interview et, prend l’avantage gracieusement :
-
« J’adorais Claude François avant. Ses chansons, tout le monde les adore. Elles font parties du patrimoine français.
Dès que les premières notes de Alexandrie, Alexandra retentissent, on voit le public réagir, se lever ».Et oui, le désir de bouger nous taraude !
Aurélie, avec malice et bonheur, se plaît à préciser que :
« Le public parisien n’est pas froid du tout ».- « A la fin, toute la salle est debout, les bras en l’air, et chante. C’est formidable ! »« Ce public se lèverait bien, plus tôt », confie Aurélie. Frapper dans les mains, en rythme, reprendre les refrains s’avèrent insuffisant à l’ambiance biguarrée.
Danser sa vie …
En ce qui implique sa notoriété et les nombreuses sollicitations de ses fans, notre chouchoute avoue que cela pourrait être difficile, mais qu’elle arrive à gérer et que, tout doucement, elle apprend son nouveau statut, aidée, en cela, par sa famille et ses ami(e)s.
Gageons que la tournée sera tout aussi chaleureuse.
Micos, le 21.12.2003